Des paysages S.V.P.

Bon, depuis quelque temps, j’ai l’impression de  photographier exclusivement de la macro. Comme si l’infiniment petit m’avait complètement envoûter. Me faisant oublier, du coup, le monde qui m’entoure.

Faut dire que c’est facile de partir avec son objectif macro, effectuer quelques pas, voire se diriger dans sa cour et s’attarder sur un petit carré de verdure.  S’y perdre. L’espace de pluuuuusieurs minutes! 😀

Je me suis secouée et je suis sortie de ma bulle afin de vous offrir en grande primeur des paysages.

Profitez-en, ça ne durera pas longtemps. (EXIF disponible en glissant la souris sur l’image)

↑ Lorsque j’ai aperçu la formation nuageuse, j’ai immobilisé mon véhicule et je me suis aventurée dans le champ. J’ai attendu (plusieurs minutes) que le soleil sorte d’entre les nuages avant de prendre le cliché. ↑

↑ J’empruntais ce sentier pour me rendre au sommet de la montagne.  Le jeu de lumière et d’ombre créé par les fougères m’ont séduite. Mais c’est une scène énormément difficile à capturer, étant donné l’écart de la dynamique des valeurs (ombre et lumière). J’ai fait plusieurs essaies avec filtre et sans filtre. Finalement, ce sont les photos sans filtre que j’ai fusionnées dans PhotomatixPro. ↑

↑Parfois, une seule image suffit, comme celle-ci. Pseudo HDR dans photomatixPro. ↑

Ici, j’ai délibérément conservé la couleur bleutée de l’image qui reflète bien la brume du matin. Fait cocasse : je viens tout juste de réaliser que j’ai pris cette photo à F1.8… O_o ce qui n’est pas idéal pour une photo de paysage. Comme j’avais ma 50mm f1.8 et que j’aime bien photographier à cette ouverture, pour la douceur de son rendu, j’ai dû oublier.

Sacré photographe! 😉

Jour 256 ~ Patinoire du parc Daniel-Johnson

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

J’aurais aimé avoir une meilleure image. Côté composition, le personnage de droite est trop près du cadre, il n’a pas suffisamment d’espace pour… patiner. Ça coupe la dynamique de l’image. On dirait qu’il fuit la scène, au lieu d’y participer.

Faut dire qu’il faisait super froid cette journée-là, le vent n’aidait en rien la situation. J’ai fait un cliché ou deux et j’ai rebroussé chemin, me promettant de revenir plus tard.

Mais depuis, la température clémente et les pluies ont freiné les activités. Les fois où j’y suis allée, la patinoire était fermée, la glace étant trop molle.

Puisque l’hiver tire à sa fin (et c’est très bien ainsi!). Je me reprendrai l’année prochaine.

Patinoire du parc Daniel-Johnson

Jour 225 ~ Flocons de neige

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

J’aime beaucoup ce genre d’image, l’ambiance qui s’en dégage.

Nous étions à la patinoire du parc Daniel-Johnson, situé à Granby.  Naturelle, cette patinoire de 1 km est aménagée sur le lac Boivin.  Pour quelques dollars vous pouvez louer des patins et profiter du paysage extérieur.

Malheureusement, le vent s’emportait à vive allure, rendant notre visite désagréable. Toutefois, de gros flocons, fort jolis,valsaient dans le ciel,  tandis que le vent tourbillonnait parmi une poignée de braves patineurs.

Pour contrer la bise mordante du vent,  nous étions forcés à marcher à reculons. Pas jojo! 😉

Avant de quitter les lieux, se promettant de revenir lors d’une journée ensoleillée, mon regard a été attiré par cet arbre. La table de pique-nique, à demi enseveli de neige,  semble attendre patiemment le printemps.

Jour 188 ~ Le fantôme impuissant

Une balade autour du lac Boivin, situé à Granby, m’a (enfin) permis d’effectuer quelques clichés. Je n’ai pas apporté mon trépied, inutile de s’encombrer.  Au fond, je ne souhaitais que m’amuser. Poser mon regard sur le paysage, à la rechercher de textures, contraste, ou tout autre élément intéressant à photographier.

Une source de joie incontestable.

Durant le parcours, le soleil a percé les nuages, créant ainsi des ombres étirées. Comme je n’arrivais pas à faire disparaître mon ombrage, ni d’un bord, ni de l’autre, j’ai décidé de faire partie du décor.

Jour 176 ~ Number 13

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

Le chiffre 13, absent des chambres d’hôtel, il enflamme les conversations. En bien ET en mal. Porte-t-il chance? Ou malchance?

Pour trancher la question, posez-vous la question suivante : qui souhaiterait dormir dans la chambre no 13? Quelqu’un en mal d’aventure? Cherchant à titiller le mauvais sort.   Et, du coup, se convaincre que ce chiffre, finalement banal, n’a rien de spectaculaire. Ni de bien terrifiant. Au fond, on constaterait qu’il est tout à fait inoffensif.

En êtes-vous bien certain?

Mais revenons à notre sujet, ce pédalo en l’occurrence, je ne sais pas ce que le destin lui réserve, mais une chose est certaine, personne ne risque rien tant que le lac est gelé.

😉